• Quand j’étais très jeune, mon père me parlait tout le temps du Canada. Je l’écoutais et je parlais avec mes amis et voisins, tous immigrants de la classe ouvrière, de notre pays et de nos dirigeants. En grandissant j’ai commencé à poser des questions, à débattre avec mon père de ce que notre nation devrait être. Je me suis toujours opposée au statu quo et je défends une vision progressive de la justice sociale, celle défendue par le NPD du Canada.

 

• C’est aussi devenu apparent que si je voulais gagner les débats avec mon père, il fallait que j’aille à l’université. Je suis la première femme de ma famille à l’avoir fait. Venant d’un milieu modeste, même dans lequel l’éducation était très valorisée, ça n’a pas été facile.

 

• J’ai pris toutes les jobbes qui se présentaient à moi. Chacune de ces jobbes m’a appris quelque chose, sur la valeur du travail, et sur la valeur de toutes les travailleuses et tous les travailleurs. Et ça, ça ne s’apprend pas à l’école! Nettoyer les toilettes d’avion m’a appris à être une meilleure voyageuse! J’ai appris bien d’autres leçons importantes en travaillant dans le commerce de détail et dans d’autres emplois. Rien ne pouvait m’arrêter vers le but que je m’étais fixé!

 

• Même mon diagnostic de sclérose en planques ne m’a pas ralentie longtemps. Contrôler cette maladie et retourner aux études ont cependant nécessité de la patience et de la persévérance. Mais je l’ai combattue et je continue de me battre aujourd’hui.

 

• Quand j’ai enfin terminé mon doctorat, tous les obstacles dans mon cheminement ont rendu encore plus spécial cet accomplissement. Mais ça n’a pas arrêté mon père. On continue à débattre de sujets politiques et j’aime toujours autant cela!

 

• J’ai rejoint le département de science politique de l’Université Laurentienne comme professeure. Depuis, Sudbury est devenu mon chez-moi, une ville où vivre et m’épanouir avec mon partenaire et sa famille. Je suis tombée en amour avec Sudbury!

 

• À la Laurentienne, j’ai rencontré et j’ai enseigné à d’excellent.e.s étudiant.e.s aux intérêts et origines divers. Je continue à mener des recherches et à explorer des idées en matière de politiques, là où le Canada a encore besoin de faire des progrès, particulièrement en ce qui a trait à la violence faite aux femmes. J’ai travaillé avec les étudiant.e.s pour faire du Parlement simulé un franc succès, une expérience où les étudiant.e.s brillant.e.s pouvaient démontrer leurs connaissances et compétences à la Chambre des communes.

 

• Voir nombre d’entre eux et elles poursuivre d’excellentes carrières en politique me rend particulièrement fière. Que certain.e.s d’entre eux et elles soient sur mon équipe, m’accompagnent dans cette aventure, est un véritable honneur pour moi.

 

• Mais ça rend la destruction de l’Université Laurentienne d’autant plus difficile pour moi.

 

• Je suis certaine que, si on avait rassemblé la ville pour trouver une solution, pour bâtir une Laurentienne plus forte, nous aurions pu sauver des emplois, sauver des programmes, et s’assurer que les étudiant.e.s puissent finir le programme qu’iels avaient choisi. Nous aurions pu maintenir l’unité de notre communauté.

 

• Il semble que l’administration et le gouvernement provincial ne se soucient pas de ces objectifs. Il semble que les Libéraux au fédéral aient décidé de ne pas se battre, évitant le problème avant d’être mis au pied du mur. Je voudrais qu’ils sachent tous que la Laurentienne et notre communauté, elles valent le coup que nous nous battions pour elles!

 

• Notre équipe néo-démocrate – France Gélinas, Jamie West, Charlie Angus, Carol Hughes et notre chef Jagmeet Singh - le sait. Iels ont à cœur d’écouter. Iels ont organisé événement après événement pour écouter les personnes touchées. Iels souhaitent bâtir et appuyer un mouvement sur ce problème, et iels se battent à la Chambre des communes et dans les médias pour notre communauté.

 

• Les néo-Démocrates comprennent que nous ne nous levons pas juste pour se battre pour la Laurentienne, mais aussi pour la prochaine bataille que devra affronter notre ville, et les prochaines qui s’en viendront. Bâtir et renforcer notre communauté, en faire plus pour les gens, c’est ce qui distingue nos élu.e.s à travers tout le pays, et ici à Sudbury.

 

• Chères amies, chers amis, voici les raisons pour lesquelles je souhaite être votre candidate lors de la prochaine élection fédérale. Pour traduire en actions les valeurs et les savoirs qui m’ont été inculqués et pour régler les problèmes qui comptent. Pour montrer qu’il est impérieux d’écouter les Sudburois.e.s et de travailler ensemble à l’épanouissement de notre communauté. Pour se battre pour elles et pour eux sur les problèmes essentiels que sont : Pharmacare, les établissements de soins de longue durée, la réconciliation avec les Premiers Peuples, la protection des femmes victimes de violence, et la crise sans précédent de la Laurentienne. Ces questions seront au cœur de la prochaine campagne.

 

• Lorsque les Sudburois.e.s devront voter, iels se demanderont « Qui nous écoute? Qui se battra pour nous? Qui bâtira notre communauté avec nous? » et iels voteront pour Nadia Verrelli, votre candidate NPD, et ensemble nous gagnerons!